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Destinée à l'origine à "faire passer" un vin blanc un peu... agressif. Cette recette bourguignonne a été popularisée par le chanoine Kir, maire de Dijon, qui l'a imposée à l'Assemblée Nationale. Avant lui, on dégustait un blanc-cassis, après lui, c'est devenu un kir... A l'origine, le cassis était également fabriqué à domicile.
Soyons clairs : un kir ne peut pas être à la mûre ou à la pêche... Appelez ça comme vous voulez mais surtout pas "kir" ! (Question entendue en d'autres régions : -"Vous voulez un kir mûre, cassi ou pêche ?" oui oui cassi ... ici on dirait plutôt cassisss)
Essayez, et dites-nous ce que vous en pensez... ou confiez nous vos recettes creusotines.

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Kir :

Dans un verre à vin, verser un doigt de cassis (plutôt un pouce qu'un auriculaire !) et ajouter du bourgogne aligoté (vin blanc plutôt sec). Votre kir est prêt.

Dans un mouvement d'immense générosité, vous pouvez utiliser du crémant de Bourgogne à la place de l'aligoté.

Servez avec des gougères.